Réfléchissons sur la capacité de prévoir où ira votre coup et quels en seront les conséquences.
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Chasse aux cerfs dans les forêts de chênes hongroises
Nous avançons vers le poste d’affût à pas de loup. Nous n’entendons que les glands qui frappent les feuilles d’autonome en tombant sur le sol. L’air est frais et le vent souffle à peine tandis que nous progressons lentement au milieu des chênes, des hêtres, des tilleuls et des frênes. C’est mon troisième jour de chasse avec Arpi, mon guide, dans la forêt hongroise. Le calme règne. Jusqu’ici, nous n’avons vu que des hardes de mouflons, quelques biches et un cerf aux bourgeons de corne magnifiques mais trop jeune pour être tiré.
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Modérateurs de son bientôt légalisés : la révolution silencieuse
Nous vivons dans un monde de plus en plus aseptisé. Les gens veulent de la viande, mais ils la veulent emballées sous vide, sans un élément pouvant rappeler qu’il s’agit d’un morceau de corps animal. Les gens veulent vivre à la campagne, mais sans les potentielles nuisances de l’agriculture. Votre entourage fume, mais pense se protéger avec des cigarettes dites « light ». Les stars du hard rock reçoivent comme consigne de baisser le son lors de leurs concerts.
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La petite histoire du camouflage
Posté à l’affût, vous faites tout pour passer inaperçu. Le camouflage A-TACAS AU de votre ensemble Hells Canyon II et de votre X-Bolt McMillan se confond avec les hautes herbes vous entourant. Immobile, vous semblez ne faire qu’un avec le biotope. Votre camouflage vous rend aussi visible pour le gibier que Mimi Mathy a un festival de catcheurs géants.
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Le jeu de patience ! Quand les animaux nous énervent.
Comme bien souvent lors d’une partie de chasse, l’action se déroule soit sur-le-champ, soit au moment où vous envisagez de rentrer à la maison. C’est exactement ce que cette histoire raconte. En octobre, ma fille Chloe et moi sommes sortis pour un affût au chevreuil et une chasse nocturne aux lapins.
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La chasse à l’affût : patience et discrétion
Comme l’approche, l’affût du grand gibier requiert patience, sens de l’observation et silence absolu. Originaire d’Allemagne, cette pratique s’inspire – à l’instar de la majorité des modes de chasse, ne l’oublions pas ! – des ruses déployées par certains animaux de proie dans leur milieu naturel pour se nourrir (de l’ours polaire au brochet, en passant par certains fauves ou serpents…).
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La chasse à la sauvagine: au hutteau ou au cercueil
Cercueil : le nom annonce la couleur… Et en effet cette installation mobile ressemble à s’y méprendre à la « boîte » qui accueillera sans doute un jour notre future dépouille ! Elle en a la forme, la « discrétion » ; quant au confort – on ne saurait trop se prononcer… Mais trêve d’analogies inopportunes !
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Chasse à la sauvagine: à la hutte ou au gabion
Traditionnelle, cette chasse unique se pratique la nuit et recèle quelque chose de « sacré » pour ses adeptes. Quoi de plus excitant, en effet, que l’attente nocturne au fond du marais, lorsqu’on n’entend plus rien que le chant des appelants – annonciateur, peut-être, de la pose tant espérée ?
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La chasse à la sauvagine avec l’A5
Non, le terme sauvagine n’est pas un synonyme de sauvageonne, comme je l’ai cru en tout premier lieu. Cette expression englobe les oiseaux aquatiques sauvages (et migrateurs) tels que les canards, les échassiers, les cygnes, les oies, … Pour faire simple, il s’agit du petit gibier d’eau.