Il faut un début à tout ! ça fait maintenant un an que je travaille chez Browning et je ne suis pas encore l’heureux possesseur d’un permis de chasse… Mais j’étudie ! Toutefois, ça ne m’empêche pas de m’entrainer en tentant des approches avec mon Nerf.

Ma première approche

Cette histoire s’est déroulée lors d’une chaude journée d’été fin du mois d’août. Alors que nous travaillions tranquillement dans nos nouveaux bureaux (profitant clairement de l’air conditionnée), et jouant avec nos Nerfs pour nous détendre un peu lors d’un temps de midi.

Le problème de l’été, nous le savons tous, c’est les mouches… Elles sont partout et peuvent fortement vous ennuyer toute une journée si vous les laissez faire sans les chasser ou les tuer. Du coup, entre collègues, nous nous sommes lancés dans l’idée d’utiliser nos Nerfs pour les chasser.

C’est donc plein d’entrain que j’ai suivi les zigzags de l’une d’entre elles en attendant que celle-ci se pose à un endroit. Dès lors, le plus risqué a été de s’approcher sans lui faire peur. Bon, j’avoue que ça a raté pour la première ! Elle a sûrement senti sa fin approcher et s’est dit que ce n’était pas le bon moment pour elle…

Une seconde approche

Un peu dégoûté par cette première approche ratée, je ne perds pas espoir et repars plein de confiance en moi. Cette fois-ci, je ne raterai pas mon approche. C’est donc lors de ma nouvelle recherche de mouche que j’en vois une sur un meuble, non loin de moi.

Cette fois, elle est de côté et je me décide donc de l’approcher en la contournant, j’essaye de ne pas me mettre dans la trajectoire du vent (celui de l’air conditionné) et parviens à m’approcher à moins d’un mètre.

Je n’ai eu d’autre choix que de m’approcher autant, je n’ai pas la chance d’être équipé d’une X-Bolt avec lunette Kite qui m’aurait certainement permis de tirer cette mouche à 200m…

Du coup, je tends le bras, vise avec mon Nerf et tire !

Victoire !

La mouche a disparu, est-elle partie juste avant que ma balle en mousse à pointe polymère non expansive ne l’atteigne ? L’ai-je blessée ? Dois-je lancer les chiens pour une recherche au sang ? Bon, cette dernière question n’avait pas lieu d’être, je n’avais pas de chiens sous la main…

Il a donc dû falloir chercher seul, et après avoir fait trois fois le tour du meuble, ça y est, je la trouve, dernière le meuble, inerte, les six pattes en l’air.
Je la ramasse, la pose délicatement sur le meuble et immortalise ce souvenir de ma première approche.

Bien vite le permis de chasse, cette sensation, je veux la ressentir dans la nature maintenant.

 

Et vous, c’était comment votre première approche ? Quel était le gibier prélevé et votre arme ?

 

Découvrez la première approche de Martin, une vraie cette fois ! Ou son approche du Monstre du Loch Ness.