Ambassadrice Browning : Qui est Fiona Hopkins?

Publié le 26 avril 2018
Auteur Sébastien Maréchal
Chez Browning, nous avons à cœur de promouvoir le monde de la chasse et du tir sportif. Pour se faire, nous soutenons des associations, des sportifs, mais également des chasseurs et chasseresses. L’une de ces chasseresses est Fiona Hopkins. Elle est l’une de nos ambassadeurs sur la France avec Margaux Huntress et Julien Carpentier. Nous lui avons posé quelques questions pour en savoir plus sur elle.

Interview de Fiona Hopkins

B. : Quel type de chasse pratiques-tu ?

F.F. : La chasse au petit gibier (pigeons ramiers, canards, perdrix, bécasses, lièvres,…), mais aussi au gros gibier (sangliers, chevreuils, cerfs,…) en battue principalement mais aussi à l’approche durant l’été.

Mes chasses préférées sont:
La chasse au pigeon ramier (appelé palombe dans le sud de la France). J’ai des appelants vivants que je mets sur palette au sol ou à la perche.
La chasse au brocard à l’approche durant l’été. Ce type de chasse est extraordinaire, ne devoir faire qu’un avec la nature à la recherche de son gibier…

B. : Quel est ton meilleur trophée ?

F.F. : Mon premier chevreuil ! C’était un vieux brocard, monobois. Une superbe tête bizarde. Je l’ai prélevé lors d’une chasse à l’approche, dans le sud de la France, pendant un été. J’étais guidée par mon compagnon. Ce ne fut pas simple, mais quel moment magnifique rempli de bons souvenirs ! Vivement l’été prochain pour vivre d’aussi belles émotions.

B. : Quand as-tu commencé la chasse ?  

F.F. :J’ai mon permis de chasse depuis Novembre 2015. Mais j’accompagnais parfois mon père à la chasse plus jeune. 

B. : Et pourquoi as-tu commencé à chasser ?

F.F. : J’ai toujours aimé la nature et j’ai toujours admiré les animaux. En 2014, j’ai accompagné mon père, mon frère et mon oncle lors d’une battue (petit et gros gibier). J’ai passé un très bon moment au cours de cette journée avec de beaux souvenirs … Mais il n’y a peu ou pas de femme à la chasse … Alors, je me suis dit: « pourquoi ne pourrais-je pas le faire? ». J’en ai discuté avec ma famille et ma grand-mère m’a dit: « Si tu obtiens ton permis de chasse, je te donnerais un fusil qui appartenait à ton grand-père. » J’ai donc obtenu mon permis de chasse et mon histoire a commencé. Je ne pensais pas que je pouvais être accro comme je le suis. J’ai un profond respect pour la nature et pour les animaux. La nature est incroyablement belle … Je me sens plus proche de la nature depuis que je chasse.

B. : Ton endroit préféré pour chasser ?

F.F. : C’est proche de la maison de mes parents, l’endroit s’appelle  « Bois de Champagne ». C’est dans ce lieu que j’ai chassé pour la première fois, je remercie d’ailleurs l’ami de mon père, Alain, qui me regarde désormais de là-haut… Je m’y sens toujours très bien, comme à la maison, quand je suis dans ce bois.  

B. : L’endroit où tu rêverais de chasser ?

F.F. : Tous les chasseurs ont des rêves. Pour ma part, j’en ai deux. Le premier serait une chasse au mouflon, à l’approche, dans les montagnes françaises. Le second, c’est à Saskatchewan (Canada) pour chasser un cerf de Virginie pendant une journée enneigée. Je ne me fais pas d’illusions, le second restera probablement un rêve pendant longtemps.

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