Vivre avec un chasseur, lorsqu’on ne l’est pas soi-même, requiert une forte dose de patience et, face à la passion de sa moitié, une faculté de compréhension bien supérieure à la moyenne.
Vous pourriez naïvement supposer que, ce « loisir » étant saisonnier (calé sur les dates d’ouverture et de fermeture), il laisserait à l’entourage quelques moments de répit ? Que nenni ! Le chasseur pense, mange, travaille, dort « chasse » tout au long de l’année…